DANS LE BAQUET - J 65 - 19.09.07

Je me demande combien de temps encore je vais pouvoir dire que j'aime le Nürburgring. Autant la séance d'hier était acceptable autant celle d'aujourd'hui a été exécrable.

Tourner une heure pour essayer de se placer sur la grille vers la 18è place n'était déjà pas un programme très alléchant. A la toute fin du premier tour, ce fameux tour qui ne génère aucun repère chronométré, je perds une roue dans la ligne droite, juste avant d'en terminer.

Retour aux stands, un tour de perdu donc. Je repars pour ne rien faire de bien si ce n'est abîmer la voiture ici ou là. Bilan de cette heure d'essais : Un seul tour bouclé vers la fin et encore, c'est un bien grand mot. 12 minutes, 42 secondes, qui dit mieux ? In fine, ce tour n'est même pas comptabilisé puisque le drapeau noir m'a été présenté à la 57è minute.

J'avais, en effet, parcouru trop de distance dans le mauvais sens à un moment où j'étais complêtement déboussolé.

Partant, donc, en dernière position, la course ne m'a pas été plus favorable. Dans la 2è ligne droite après le départ, je me suis littéralement emplâtré dans un énorme accrochage dont je ne me suis pas méfié. 8 ou 9 voitures impliquées, qui n'ont pas pu repartir, dans un accident provoqué par Rodriguez mais que je suis venu aggraver.

Le même scénario qu'à Monaco, mais, là, j'ai du abandonner. Difficile de redémarrer quand on est sur le toit. 

De la frustration mais pas de regrets, de toute façon je n'aurais pas su tenir le rythme des rescapés pour espérer, comme à Monaco, grappiller un point.

Je mesure, une fois de plus, l'énorme chemin qu'il me reste à parcourir pour acquérir un début de maîtrise...



19/09/2007

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