DE KYALAMI A MONACO - A MOI L'EMBRAYAGE - 1.09.09-22.08.10

 

A MOI LE BAQUET - DE KYALAMI A MONACO - 1.09.09-22.08.10

 LA DECOUVERTE DE L'EMBRAYAGE

Lundi 24 août. Nous sommes déjà à plus de la moitié de la quinzaine de préqualification de F1 Legends. Il est temps de se remettre au volant après quelques jours de break surtout que sur ce circuit de Kyalami je suis loin au rank en comparaison des chronos réalisés sur d'autres papys. Le mauvais étalonnement du rank sur ce circuit est bien connu et je n'y suis donc pas à mon avantage. 1.23.41 tel est mon pb à ce moment là.

 

Je commence par une demi-heure d'essais puis une petite course de 24 tours avec des AI à 1.03 (Npt). D'autres courses les jours suivants avec des AI à 1.02 puis 1.01 et enfin 1.00. Cette dernière est presque gagnée sauf que je tombe en panne d'essence dans le dernier tour alors que j'avais 8 secondes d'avance sur mon second. Cela me permet de peaufiner mon plein, cette dernière course le samedi ayant été faite, là, sur 45 tours, la même distance que lors de la course du dimanche.

 

Entre temps, à ma grande surprise, mon pb est tombé de plus de deux secondes pour arriver à 1.21.36 (soit pile à une demi-seconde du bench). En online je signe un 1.21.78 alors que la veille mon pb (off) n'était encore que de 1.21.81. Tout ça est bien au-delà de mes espérances et surtout me permet de ne pas être sur le dernier serveur (le 4) la barre étant aux alentours de 1.22.5.

Dimanche 30 août. Les essais se passent, comme souvent, de manière contrastée. Rien de bien fameux puisque sur les 13 tours effectués je n'en sort qu'un seul sous les 1.22. Mais quel tour, le 11è, en 1.21.65 soit mon meilleur en online. Le bol. Ca me donne la 4è place sur la grille ce qui est satisfaisant puisque devant moi je retrouve les mêmes pilotes que dans les préqualifications, Eric Bilodeau, Warm Up, mon coéquipier dans le champ Planète et Gianni Alvaro, mon opposant le plus proche. La hiérarchie est respectée, seul JP Bourre, un nouveau venu, ayant déclaré forfait.

La course démarre bien et je m'accroche derrière Gianni qui a vite glissé de la seconde à la 3è place. Devant, Warm Up et Eric prennent une courte avance mais on les garde bien en vue. Dès le troisième tour Warm Up se loupe et je continue à cravacher derrière Gianni sans perdre de vue qu'on est déjà tous deux sur le podium. Je fais tout mon possible pour rester au contact de son Eagle et j'ai l'impression d'être un peu meilleur sur le sinueux. Malheureusement avec ma Ferrari pas moyen d'être en mesure de l'attaquer malgré tous mes efforts. Il est coriace et bien en jambe ce soir le bougre. Warm Up a pris cher puisqu'il est passé de la première à la sixième place. Il commence à regagner des places au bout de 3 tours et est 5è au 6è tour. Pendant ce temps là j'ai du répit et je peux me concentrer sur Gianni puisque derrière moi Jean Cosworth ne commet pas de fautes mais décroche tout doucement. Devant nous Eric ne s'échappe pas plus que ça et je continue à croire à une victoire possible. Je sais que l'an dernier, à ce niveau, la gagne s'est jouée en 1 heure deux minutes et 12 secondes et que je peux faire 1.02.09.

 

Derrière, Warm Up remonte mais revenu 4è ne grignote plus que des clopinettes. Gianni et moi on est à bloc. Eric gère ou ne peut aller plus vite. Au tiers de la course (fin du 15è tour) rien n'est joué, loin s'en faut. Je suis dans l'aspi de Gianni et à 4 secondes d'Eric. Warm Up suit 6 secondes derrière moi. Puis vient ce maudit 16è tour. Est-ce de voir un attardé (El Quiocos) au loin devant Eric et les difficultés que j'anticipe mentalement ? Toujours est-il que je réaccélère un peu trop fort ou un peu trop tôt à la sortie des esses... Patatras ! Je pars à droite sur l'herbe en tête à queue. Dans ma bêtise j'ai de la chance et ne vais pas faire la bise au grillage mais peux repartir sans encombre. Je ne perds qu'une place, Warm Up étant passé, et je boucle ce tour pourri avec 6 secondes de retard sur lui et 3 d'avance sur Jean qui n'a pas pu profiter de ma boulette.

 

Dès lors c'en est finit de mes espoirs de podium si personne ne fait le con devant. Je sais que je ne pourrais pas revenir à la régulière sur Warm Up et les douze secondes perdues en tout me mettent dès lors bien loin de Gianni. Heureusement, contrairement à bien d'autres courses dans ces circonstances je parviens assez rapidement à reprendre mon meilleur rythme. Je cravache malgré la bonne douzaine de secondes de retard sur Gianni. Au gré du passage des attardés (tous très fair-play) on se prend des secondes entières à chaque tour mais globalement je remonte. Il perd aussi pas mal de temps au 28è tour quand il doit céder sa seconde place à Warm Up. A ce moment là l'écart est tombé à 8 secondes à peu près et je recommence à l'avoir en visuel ce qui me donne des ailes. En plus je suis favorisé par mon rôle de suiveur pour le passage des attardés.

 

Une seconde de gagné au 29è tour, autant au 30è. Une perdue au 35è. Deux gagnée au 39è. Arrivé là je ne suis plus vraiment loin. Encore une demi-seconde ici ou là et les 4 derniers tours au contact dans le même rythme. 3 dixièmes d'écart seulement au début du dernier tour mais Gianni est en bourre et je ne fais pas le con (même si du coup ça m'en donne la place) comme à Silverstone l'an dernier. Il ne m'ouvre pas de porte et je termine donc sur ses talons avec à peine plus d'une demi-seconde de retard.

 

Super course, merci Gianni ! Je suis quand même un peu déçu du résultat en lui-même car il y avait vraiment de quoi faire mieux, voire gagner. De quoi se mettre des baffes. Devant nous les deux premiers ne sont qu'à une douzaine de secondes, Warm Up (en Cooper) lui aussi dans la même demi-seconde qu'Eric qui l'emporte. Ils finissent en 1.02.09. Oui, vraiment, y avait la place.

Mardi 8 septembre. Convié par la ligue belge à l'occasion du début de leur championnat d'automne je me suis laissé tenté et ais décidé de répondre de manière positive à l'invitation de Frédéric Gubbels. C'était l'occasion de découvrir enfin "en vrai" le mod66 que j'apprécie beaucoup mais que je n'avais eu l'occasion d'essayer jusque là qu'en off.

 

Le circuit s'y prêtait à merveille puisqu'il s'agissait du fabuleux Monza 10 k, celui là même qui sert de décor d'anthologie dans le film Grand Prix en 66, même si cette piste n'était plus utilisée ainsi après 61. Quand je dis ainsi c'est bien sûr avec l'anneau de vitesse qui doublait le développement du circuit.

 

Peu de préparation me semblait nécessaire pour ce circuit, puisqu'il suffisait juste d'expérimenter un peu la tenue de piste dans ce fameux ovale ce qui fut fait à quelques reprises lors des jours précédant la course. Je connaissais déjà un peu la Ferrari 312, assez joueuse, bien que beaucoup plus facile à manier que son homologue du 67. Un setup Dark de derrière les fagots et c'était bon.

Avec le mod66 l'écart entre les voitures est assez grand et un pilote de niveau modeste comme moi peu parfois très bien s'en tirer s'il à une bonne voiture. Ainsi je me suis retrouvé à ma grande surprise en 4è position sur la grille à l'issue des essais sur un plateau, hélas, réduit à 9 unités.

Malheureusement mon manque d'expérience en piste dans les luttes au coude a coude m'ont amené à deux accrochages avec Pascal Delbrassine d'abord et Frédéric Gubbels ensuite. J'ai ainsi un peu faussé leur course et je tiens ici encore à m'en excuser. Par la suite j'ai pu être assez régulier et rouler au contact de Jean-François Bovy mais à plus de 15 secondes de mes deux victimes qui avaient fini par prendre le large.

 

A quatre tours de la fin, se sont-ils accrochés ? Quoi qu'il en soit en un tour je suis revenu sur eux et les ais passés suivant toujours Jieffe Meuh, mon poisson pilote, dès lors 3ème. Au début du dernier tour et avec seulement une poignée de secondes de marge sur Frédéric Gubbels c'est la troisième place qui m'est revenue, mon lièvre pensant que la course était terminée. Sur le coup j'ai cru que son moteur l'avait lâché mais il n'en étais rien. Long long fût alors le dernier tour car quand on a derrière soi un Frédéric Gubbels lancé à ses trousses, même équipé d'une voiture moins performante et qu'au bout se joue un podium, y'a pas d'autre mot, on serre les fesses.

 

Hold up parfait, certes et grand merci donc à la ligue belge de m'avoir permit de faire mes débuts sur ce mod bien agréable. Je reviendrais, promis, et j'essaierai d'être moins dangereux.

Le circuit de Glacier international à ceci de particulier qu'il est un des plus larges réalisé pour GPL. Il est donc compliqué d'en maîtriser correctement toutes les trajectoires idéales d'autant plus qu'il est long, le tour se faisant en à peu près 6 minutes, et qu'il compte 5 ou 6 sauts plutôt costauds.

 

Ma période d'entraînement pour cette course s'est faite en 2 phases car celle-ci à ceci de particulier que j'ai changé de pédalier (pour un Fanatec) et surtout de manière de jouer en me servant désormais de l'embrayage. Mon pb était de 6.03.8 alors que les meilleurs tournaient sous les 5.55. En changeant de méthode de pilotage je n'espérais pas améliorer mes chronos évidement mais prendre plus de plaisir grâce à plus de réalisme et je suis loin d'être déçu. A ma grande surprise j'ai réussi à tourner assez vite entre 6.06. et 6.07 ce qui était largement satisfaisant.

Dimanche 20 septembre. Lors des essais j'ai pu refaire un 6.06.4 ce qui ne m'a mis que 18è sur 20, devant Michèle Bonnard et David Rainier qui avait un peu raté ses essais mais qui s'en est beaucoup mieux sorti pendant la course.

La course, elle, n'amène que peu de commentaires. En dehors d'une sortie sans gravité dans le premier tour j'ai ensuite pu rouler sans commettre d'erreur mais à un rythme insuffisant pour aller menacer Gianni Alvaro, rapide et régulier ni Jean Cosworth qui finit à moins de 20 secondes devant moi alors que je pensais pouvoir peut-être le battre. Lui aussi a fait une bonne course, prudente, et l'embrayage a fait le reste et eu raison de moi. L'apprentissage va continuer.

Après mes premiers pas encourageants à Glacier la découverte de l'embrayage devait continuer à Spa, un circuit plus familier, et que j'apprécie tout particulièrement. Je partais d'un pb de 3.25.69 réalisé il y a déjà pas mal de temps alors que je roulais encore avec seulement deux pédales. Mon objectif initial était de réaliser un 3.29 soit une perte d'une seconde à la minute. Mais très vite un potentiel de 3.27.8 s'est fait jour et à 5 jours de la course un temps de 3.25.99 est tombé.

 

Incroyable ! Je n'aurais pas pensé pouvoir m'approcher aussi vite de mes anciens chronos. Ce temps me permettait d'être assez proche de l'avant dernier serveur, mon challenge habituel. Hélas il me manquera quelques centièmes pour y être vraiment. La veille de la course j'améliore encore avec un 3.25.87 qui m'aurait permit, là, d'être sur le serveur 3 si je l'avais fait lors des séances de qualification en ligne. Las, ce sera donc le 4 !

Dimanche 27 septembre. Bien préparé pour les essais je m'élance dans un premier run qui ne donne pas grand chose. 3.27.5 ne me donne qu'une 5è ou 6è place. Bof, bof. J'ai quand même le meilleur chrono des préquals sur ce serveur, alors, on se bouge. J'y retourne et n'ayant pas roulé de la journée pour garder du jus, les automatismes de la veille se remettent en place tout doucement. 3.26.6 puis 3.25.81.

 

Yeepi ! Nouveau pb à l'embrayage. Ca y est me voilà à nouveau le seul sous les 3.26. Le seul, pas vraiment. C'est sans compter sur Bruno Goujon qui pulvérise son 3.27.7 des préquals avec un 3.23.9. Ouch ! Bon, second ça me va déjà. Je termine même ces essais avec un 3.25.70. A un centième seulement de mon pb. Incroyable !

Reste maintenant à gérer la course correctement. Me voilà donc légèrement en arrière sur la grille, derrière Bruno. Au tombé du drapeau j'arrive à m'élancer beaucoup mieux que lui et c'est parti. J'ai vite une seconde d'avance mais je suis un peu fébrile. Il ne m'arrive quasiment jamais d'être en tête d'une course et je le ressens. Je manque de peu de me louper lors d'un des premiers virages et je passe encore très près de la cata lors du dernier. Mais j'ai déjà pris le large et je me reprends.

 

Derrière, Bruno à abandonné et le trou est déjà de plus de 15 secondes à la fin du tour de lancement. Au bout de 3 tours l'écart est de 30 secondes et ira jusqu'à 40. Je reste cependant en dedans puisque je mettrais plus d'une minute supplémentaire pour boucler les 18 tours par rapport à ma meilleure course d'entraînement en off. Après, l'écart va décroître mais j'arrive à me mobiliser assez pour ne pas m'écrouler complètement et je termine avec une petite quinzaine de secondes d'avance sur Thierry Cassagne. Conduire avec l'embrayage, quel pied !

Après mon bon résultat de septembre en ligue belge je me laissais tenter par une nouvelle aventure, celle de découvrir "sérieusement" le mod69. Je n'avais jusque là fait que quelques tours de piste histoire de voir à quoi ressemblait le maniement de ces voitures à aileron. Là le challenge était tout simplement d'aller rouler sur le juge de paix, j'ai nommé le Nürburgring. Pas question de hold-up, là, façon Monza 10k avec le mod66 mais juste l'espoir de bien figurer, autrement dit simplement finir la course.

Mardi 6 octobre. Même sur un circuit aussi ardu que le Ring (sur lequel je n'avais pas roulé depuis longtemps) et avec la difficulté de découvrir un nouveau type de voiture on se rend compte rapidement de la vitesse bien supérieure des voitures du mod69 par rapport à celle du 67. Alors que mon pb en 67 était aux alentours de 8mn37 (aux palettes) j'obtenais là un 8.22 sans avoir beaucoup révisé le circuit avant la séance d'essais. La marge est énorme. Cela m'a donné ma 8è place sur la grille devant David Rainier (8.28), Gouju (8.34) et Giuseppe Obiso alors que Frédéric Gubbels signait la pole en 7.37.

Le départ se passe bien à part pour Pascal Delbrassine qui se sort et se retrouve dernier. Je roule tranquillement et prends une petite avance sur David Rainier alors que devant Jean-Francois Bovy lui aussi à pris un peu de marge. Au bout de 4 minutes il sort un peu large et du coup je reviens sur lui puis le passe mais il peut continuer. À peine plus de deux minutes lui suffiront pour me rattraper et me dépasser. Il est nettement sur un autre rythme que moi mais Pascal Delbrassine, revenu de la dernière place, me rejoint aussi. Il me passe aussi car je ne suis pas non plus en mesure de lui résister. Je sais que 10 tours ici c'est long et j'essaie de garder la tête froide.

 

Alors que le premier tour se termine, je me loupe un peu à la fin de la ligne droite mais pas de mal je m'en tire juste avec une bonne frayeur et je passe la ligne en 8è position avec une quinzaine de secondes d'avance sur David.

 

Le deuxième tour se passe bien et je le boucle en 8.29 contre 8.32 pour le précédent. David signe un deuxième 8.46 et j'ai donc une bonne trentaine de secondes d'avance sur lui. Devant, Pascal est à 15 secondes et la course en solitaire commence donc vraiment, comme souvent ici. C'est aussi le début des ennuis.

 

Vers Adenauer Forst je me loupe bien comme il faut, à tel point qu'il me faut faire un shift-r pour continuer. Même si je n'aime pas trop ça, comme le règlement le permet, je m'y résous et c'est reparti. Du coup David n'est plus qu'à une vingtaine de secondes. Il faut que je me ressaisisse. Tristan Bot qui s'est loupé est intercalé entre nous. Rapidement il est derrière moi et je me loupe en voulant le laisser passer mais je ne tape pas et il peut repartir vers la tête de la course. La course en solitaire reprends mais je roule n'importe comment à l'approche du banking du Karussel. A croire que j'oublie complètement de freiner. Du coup David se rapproche cette fois-ci très nettement. Il n'est plus qu'à 8 secondes à la fin de ce quatrième tour et j'imagine que ça lui donne des ailes. Il commence à bien tourner avec un 8.27.

 

Je me reprends bien et boucle le 5è tour en 8.24, lui reprenant six secondes. Le 6è tour se passe bien lui aussi et je signe un 8.26 mais David hausse le rythme et me grignote quand même 2 secondes. Même chrono pour le tour suivant mais David continue à revenir sur moi et je cède encore 5 secondes. A la fin du 7è tour mon avance n'est plus que de 6 secondes mais il me faut aller aux stands pour ravitailler et réparer la voiture qui n'a pas trop aimé mes dernières excursions hors piste. Je repars juste derrière David et la fin de course promet donc d'être intéressante. Je perds 15 secondes en tout sur ce tour mais la cause est entendue. Cinq seconde de plus lors du tour suivant et malgré un joli 8.19 lors du dernier tour (mon meilleur chrono) les 3 secondes reprises ne seront pas suffisantes.

 

Après une petite heure et demi de course je termine à une dizaine de seconde de David. Pas trop de regrets mais dommage quand même. Pour une de mes premières courses à l'embrayage ça aurait pu être pire sur un tel circuit.

11 octobre. F1 Legends. D4. Après le Ring, arrivée en principauté pour une course sur un circuit que je redoute encore plus que le tracé allemand. C'est loin d'être le bon tracé pour qui roule à l'embrayage, croyez-moi.
Mon pb récent à l'embrayage (puisque c'est la première fois que je roule ainsi sur cette piste) est de 1.31.4 mais lors des essais, pas moyen de faire mieux que 1.32.3 et encore les essais ont-ils été très médiocres puisque ce chrono est le seul sous les 1.33. Cela me met quand même 4è sur la grille derrière Thierry Cassagne (1.30.6), François Fk (1.30.9) et Paul Sablayrolles (1.31.7). Autant dire que je suis très loin.

Le départ se passe sans problème mais au premier passage au bureau de tabac je me loupe un peu. L'erreur est sans conséquence. Derrière moi Jean-Philippe Valois en fait autant et je garde donc ma 4è place. L'écart est de 3 secondes puis 5 et 10 secondes après 3 tours.

 

La course est vite solitaire puisque j'ai rapidement 15 secondes de retard sur le 3è et 30 secondes d'avance sur le 5è. Quoi qu'il en soit, je suis un peu crispé comme souvent ici et au final je ne sors que 4 tours entre 1.35 et 1.36 avec un meilleur chrono en 1.35.1. C'est dire si je prends le moins de risques possible.

 

Bien m'en prends finalement puisque les trois premiers sont largement au-dessus du lot. La chance me sourit puisque je bénéficie de problèmes moteur de Paul qui a tout du long disputé la victoire à Thierry et je récupère la dernière place sur le podium. Bien que finissant à un tour je ne pouvais espérer mieux.

A suivre...

 

Sauvegarder en PDF



01/09/2009
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 257 autres membres


Recommander ce blog | Contact | Signaler un contenu | Confidentialité | RSS | Créer un blog | Espace de gestion