DICO DES PILOTES - B COMME... BAUDRIT
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DICO DES PILOTES - B COMME... BAUDRIT |
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BEHRA Franck |
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Franck Behra fait ses débuts en ligne début février 2010 en ligue française puis chez F1 Legends avant de rejoindre à la fin du mois la ligue belge et Planète 67 puis, début avril, Planète 66. Il intègre aussi HSO en avril. Cette première saison lui permet d'être, avec Tom Guérout, le rookie qu'on remarque puisqu'il termine dans le Top 5 en ligue belge et dans le Top 10 chez F1 Legends et en ligue française. Il finit aussi second du championnat Planète avec le mod66, battu seulement par Eric Libourel.
L'année suivante il continue sur sa lancée, finissant à nouveau dans le Top 10 en ligue française et faisant de même en ligue belge. Il figure aussi sur le podium dans le championnat organisé par Tom Guérout avec le mod Sports Cars. En 2012 il termine à nouveau dans le Top 5 en ligue belge avec trois victoires à son actif comme la première année. Il finit aussi dans le Top 10 de la ligue française pour la troisième année consécutive.
En 2013 il dispute encore une demi-douzaine de courses en ligue francaise et une dizaine en ligue belge, mettant un terme à sa participation dans ces championnats fin juin. Une dizaine de courses chez F1 Legends l'amènent jusqu'à mi-septembre, moment où il met un terme à sa saison après une dernière boucle sur le circuit Jops Siffert. Il revient chez F1 Legends en octobre 2014 pour y participer aux cinq dernières courses de la saison. En février 2015 il remporte la 1ère course de l'année, à Watkins Glen, puis dispute une demi-douzaine de courses jusqu'en juin, s'imposant en mars sous la pluie de Mosport.
Carrière : depuis 2010-2015 - 20 championnats
Meilleurs résultats : 2010 - 2è - Planète GPL mod66
Autres résultats marquants : 2010 - 4è - LBGPL tous mods
Courses disputées : plus de 180. Victoires : près d'une vingtaine.
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BENEZET Michel |
C'est fin septembre 2001 que Michel Bénezet fait ses débuts en ligne en rejoignant le championnat GPL Passion 2001-2002 pour la 3è manche de cette compétition. Au sein d'un plateau comptant As, Beaufrère, Fabre, Grossin, Lambert ou Souche il y roule alors à Rouen et s'y illustre dès la course suivante en décrochant son premier podium à Spa. En novembre et décembre il n'est battu que par Lambert à Watkins Glen puis Beaufrère à Mexico. En janvier et février il figure à nouveau sur le podium à Zandvoort et Monza. Il est alors quasiment titré avant la dernière course prévue début mars. Cette manche disputée à Silverstone va voir un renversement de situation incroyable. Beaufrère, le seul qui pouvait lui disputer le titre, réussit l'indispensable : s'imposer. Dans le même temps Benezet abandonne dans le premier tour et perd le titre pour un rien. En novembre 2001 il à aussi intégré le championnat de la ligue française, roulant alors en D1 sur le circuit Le Mans Bugatti.
L'année 2002 le voit disputer sa première année complète en ligue française, ligue où il roulera exclusivement après la belle saison GPL Passion. Il y débute l'année en D2, mi-janvier à Kyalami, et décroche un podium à Zandvoort début mars. Mi-mai, au Mas Du Clos, il obtient sa première victoire et accède à la D1 pour la course suivante à la fin du mois. Il y dispute une demi-douzaine d'épreuve soldées le plus souvent par des abandons. Retour à la D2 pour les trois dernières manches de la saison où il réussit à nouveau avec des podiums à Monza et Mexico en novembre. In fine il termine dans le Top 5 du classement général de D2. En 2003 il alterne de la même manière ses présences entre D2 et D1 : débuts en D2 en janvier où il termine derrière Régis Barril au Mans avant de faire deux courses en D1 en février. En mars, retour en D2 où il termine second le mois suivant à Zandvort et Spa. Remontée en D1 fin mai pour les huit dernières courses de la saison (non partant à Leipzig) où il est souvent contraint à l'abandon. Il tire quand même son épingle du jeu en septembre, à Bremgarten, avec un premier podium au sommet derrière Baril et Souche. Top 15 dans les deux niveaux au classement général il termine aux portes du Top 10 dans un classement où points de D1 et 2 sont cumulés.
Ces résultats permettent de présager une belle suite et il va confirmer en 2004. Il va rouler en effet pour la première fois toute une saison en D1. Entre deux abandons il s'offre des places d'honneur mais surtout un nouveau podium en novembre à Virginia derrière Whitney et Guinet et accroche le Top 10 au classement général. En 2005 il roule à nouveau en D1 et ses résultats sont en hausse puisqu'il ne compte que trois abandons sur près d'une quinzaine de courses disputées. Le printemps est faste puisqu'ils s'offre de nouveaux podiums derrière des concurrents aussi prestigieux que Coineau, Decorps, Lauzet ou Siffert : à Silverstone et Albi en avril puis un troisième le mois suivant à Spa. Il accumule les points par ailleurs et ne rate que de peu le Top 5 au classement général en fin d'année. Sur ces bons résultats il abandonne les voitures de 67 et se consacre en 2006 au 1er championnat organisé par la ligue française avec le mod69. Cette compétition réunit des pilotes sur 1 à 3 niveaux selon les courses et Michel Bénezet y participe en D1. Après trois abandons, de janvier à début mars, la 4è course, à la fin du mois, lui permet de sauver les meubles : il s'impose à Rouen devant David Schneider et Olivier Roméo. Panne d'essence, sortie de route et panne moteur ponctuent les trois courses suivantes comme le furent les trois précédentes et la fin de carrière est proche. Elle intervient début septembre sur un 4è abandon consécutif, à Zandvoort, alors qu'il restait encore cinq manches à disputer.
Carrière : 2001-2006 - 7 championnats
Meilleur résultat :
2002 - 2è - GPL Passion
2002 - 5è - LFGPL D2 2004 - 10è - LFGPL 2005 - 6è - LFGPL
Courses disputées : plus de 70.
Victoires : deux.
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BERTHELOT Philippe |
Philippe Berthelot fait ses débuts en ligne en 2004 en disputant trois courses en D3 chez F1 Legends en octobre et novembre. En janvier 2005 il rejoint le championnat de la ligue française où il roule en D5. En mars il obtient un premier podium à Mexico puis confirme le mois suivant avec un second à Silverstone. Après une demi-douzaine de courses il monte en D5 où il dispute trois courses en mai et juin. Au final il terminera dans le Top 10 du classement général de D6.
Cette année-là Phil B roule aussi, à partir de janvier, dans le championnat GPL Cups et, en mars, termine aux pieds du podium à Snetterton. Début juillet sa 8è participation lui vaut de finir second à Road Ontario, seulement battu par Olivier Zaiit. Cette course signe la fin de sa (courte) carrière et lui vaut de terminer dans le Top 10 au classement général.
Carrière : 2004-2005 - 3 championnats
Meilleur résultat :
2005 - 8è - GPL Cups
Autre résultat :
2005 - 10è - LFGPL D6
Courses disputées : une vingtaine. Podiums : trois.
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BERTIN Patrice |
C'est en avril 2004 que Patrice Bertin fait ses débuts en ligne en participant à une course (D4) à Monza dans le championnat de la ligue française. Dès le mois suivant, sa 2è participation lui permet de terminer sur le podium à Interlagos. Il récidive en septembre à Adélaïde puis entame une saison complète en janvier 2005 avec de beaux résultats : premier succès à Zandvoort puis deuxième victoire début février à Watkins Glen. En avril il accède à la D3 et termine sur le podium dès sa 2è course à ce niveau (Spa en mai). Un nouveau podium à Dijon en juin et le voilà en D2 début septembre à Mosport. Il s'y illustre d'entrée en terminant derrière le tiercé de tête puis s'impose à Rouen en fin de mois. Une nouvelle victoire à Monthléry mi-décembre lui permet de boucler l'année en beauté et terminer dans le Top 5 du classement général de D2. 2005 voit aussi Patrice Bertin participer à quelques courses chez F1 Legends avec de jolis résultats : il roule une demi-douzaine de fois entre avril et août, essentiellement en D1. Dès sa 3è course, en mai, il n'est pas loin d'une victoire au sommet, à Limerock, terminant à moins de 2 secondes de Jops Siffert. Il revient en novembre pour deux courses : le 6 il est sur le podium en D3 à Rouen. Le 20 il quitte en beauté ce championnat en s'imposant parmi les meilleurs à Watkins Glen, devançant Michel Baudrit et Olivier Zaiit.
En 2006 Patrice Bertin fait une course en GPL Cups et une dans le championnat 69 de la ligue française mais c'est chez cette dernière, avec les voitures de 67, qu'il continue de rouler lors des années suivantes. Dès la première course de l'année il accède à la D1, niveau qu'il ne quittera plus par la suite. Parmi les meilleurs il obtient vite de bons résultats : un podium en juin au Nürburgring derrière Eric Coineau et Olivier Roméo. A Solitude, en novembre, la victoire suprême lui échappe de peu, terminant à moins de deux secondes d'Eric Coineau. Au final il accroche le Top 5 au classement général. En 2007 il glane encore deux podiums à Limerock et Monthléry et prend place dans le Top 10 du classement général.
L'année suivante Patrice Bertin fait une saison à peu près similaire. Un bref retour en D2 en mars lui vaut une victoire à Virginia. Bien que ne disputant qu'une douzaine de courses sur les quinze organisées ses places d'honneur en D1 lui valent de terminer à nouveau dans le Top 10 final. La première course 2009, début janvier, à Dijon, lui permet de décrocher enfin une victoire au sommet malgré la présence de pointures comme Patrick Cornu ou Frédéric Gubbels. Après cet exploit, janvier lui permet de figurer à nouveau sur un podium lors de la course de Kyalami. Sa saison s'inscrit cependant en pointillé puisqu'il ne dispute qu'une demi-douzaine de courses en tout, s'en allant fin novembre après une dernière ronde à Albi. Deux ans après, presque jour pour jour, il revient pour une course et met un beau point final à sa carrière : une nouvelle génération de pilote est arrivée et c'est Tom Guérout qui le prive d'une deuxième victoire au sommet sur le circuit de Kyalami.
Carrière : 2004-2011 - 11 championnats
Meilleur résultat : 2006 - 5è - LFGPL
2007 - 8è - LFGPL
Courses disputées : près de 80. Victoires : une bonne demi-douzaine.
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BIBAL Jean-Yves |
Jean-Yves Bibal fait partie des pionniers du GPL en ligne puisqu'il participe à la première course du championnat LFGPL en février 1999. Il roule à Kyalami en D2 puis fait six des dix courses suivantes lors de cette première saison. Il s'impose en avril en D2 à Zandvoort puis obtient deux podiums par la suite en septembre et décembre : en D1 à Mosport puis en D2 à Watkins Glen. Au total il termine dans le Top 10 au classement général.
En 2000 il roule en D2 puis en D3 et c'est à ce niveau qu'il retrouve le succès en janvier 2001 à Kyalami. Par la suite il remonte en D2 puis obtient un podium en D3 à Mosport en avril. En mai et juin il s'impose à Monza et Watkins Glen avant de remonter en D2 en juillet pour le reste de l'année. Il y glane à nouveau deux podiums : Imola en septembre puis Le Mans Bugatti en novembre. Au final il termine dans le Top 10 du championnat de D2 cette année-là.
En 2002 il dispute sa dernière saison complète, soit une quinzaine de courses, d'abord en D2 puis en D1 à partir de fin mai, à Silverstone. En 2003 il fait encore deux courses en D2 en janvier et février puis descend en D3 en mai : il décroche un podium à Riverside avant de faire une dernière course mi-juin à Rouen et de quitter la compétition.
Carrière : 1999-2003 - 5 championnats
Meilleur résultat : 1999 - 7è - LFGPL
Courses disputées : près d'une cinquantaine. Victoires : quatre.
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BIEMAR Ludovic |
Ludovic Biémar fait ses débuts en ligue française en septembre 1999 lors de la course de Mosport. Comme lors de la course suivante il termine aux pieds du podium.
L'année suivante il participe à une saison complète et démarre l'année en D3 début février à Kyalami. Quinze jours plus tard il s'impose à Monaco puis est admis en D2 en mars à l'issue de ce succès. Son podium d'entrée à Spa lui permet d'accéder à la D1 pour la manche suivante. Il y roule à Rouen en avril puis n'est pas loin d'une victoire au sommet en mai sur le circuit du Nürburgring. Un nouveau podium le récompense à Monza fin juin et il termine ainsi dans le Top 10 du classement général en fin d'année.
En 2001 il roule en D1 pour une quinzaine de courses et finit pas loin du Top 10 au général. Il fait un break à partir de fin octobre et revient pour une course, mi-février à Spa, en D3, avant de quitter définitivement la compétition.
Carrière : 1999-2002 - 4 championnats
Meilleur résultat : 2000 - 9è - LFGPL
Courses disputées : près d'une trentaine. Victoires : une. |
BIGNON Julien |
C'est en septembre 1999, à Mosport, que Julien Bignon rejoint la 1ère édition du championnat de la ligue française. Il fait trois courses en D1 et D2 puis dispute huit courses sur onze l'année suivante en D3 et D2. Il s'impose en D3 à Spa en mars puis à Monza en juin. En septembre il obtient son premier podium en D2 à Watkins Glen et retrouve la D1 en octobre à Mexico.
2001 est son année et la première qu'il dispute en entier, ne ratant qu'une course. Il va marquer une compétition qui regroupe alors environ 80 pilotes : il roule en D1 toute l'année et s'impose dès la première manche disputée mi-décembre 2000 à Kyalami. Il continue sur sa lancée et survole la première moitié de la saison, s'imposant au moins une fois sur deux : à Monaco en janvier, Spa en février, Silverstone en mars et au Nürburgring en avril. Un podium à Mosport le mois suivant complète le tableau et lui permet d'avoir une bonne option sur le titre. Un podium à Monza en juin et un succès à Mexico le mois suivant confortent sa position et il termine l'année en beauté en s'imposant lors de la dernière course, début décembre, à Road Atlanta. Avec 7 victoires il est l'incontestable champion LFGPL 2001.
Julien Bignon part quasiment sur ce titre ne disputant que trois courses début 2002 : il obtient un podium lors de la première manche de la saison, début janvier à Kyalami, et tire sa révérence en mars après une dernière course à Zandvoort.
Carrière : 1999-2002 - 4 championnats
Titre : 2001 - LFGPL
Autre résultat marquant : 2000 - 4è - LFGPL D2
Courses disputées : près d'une trentaine. Victoires : près d'une dizaine.
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BIGONVILLE Alexis |
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Alexis Bigonville fait ses débuts en ligne en intégrant le championnat F1 Legends en novembre 2004, pour les deux dernières courses de la saison. Il dispute ensuite quatre autres courses de janvier à avril 2005 mais rejoint surtout cette année-là le championnat de la ligue belge dont il va devenir un pilier. On le voit revenir en septembre 2006 chez F1 Legends pour quatre des six dernières courses alors qu'en ligue belge il termine 8è au classement général, dans une compétition disputée avec le mod65.
En 2007 Gouju fait sa première saison complète chez F1 Legends et obtient ses premiers résultats : en mai il termine second à Imola (D3), seulement battu par Olivier Mathieu. La dernière manche, début décembre à Mexico, lui vaut un nouveau podium, derrière Marc Florkin et Paul Sablayrolles. En 2008 il termine à nouveau 8è du championnat LBGPL mais c'est chez F1 Legends qu'il va faire sa meilleure saison, obtenant, en D4, plusieurs résultats significatifs : dès le mois de février il obtient sa première victoire, sur le circuit de Pau. En mars et avril il figure à nouveau sur le podium, à Monsanto et Hondala. La fin d'année lui est favorable puisqu'il s'impose une deuxième fois, début octobre, sur le difficile circuit de Monaco. Deux semaines plus tard il finit second sur le circuit de Hilltop et termine pas loin du Top 20 au classement général.
En 2009 il ne fait que deux courses sur trois chez F1 Legends mais obtient quand même un bon résultat en décembre : le plateau est réparti sur 4 niveaux et il roule en D3, à Watkins Glen, terminant sur le podium derrière Alain Rochette et Luis Babboni. En 2010 il dispute huit des dix premières courses de la saison et quitte le championnat, en juin, sur un dernier podium à Panchine, seulement battu par Éric Bilodeau. Il continue de rouler en ligue belge où il termine à nouveau 8è au général, comme deux ans auparavant. Cette année-là il y obtient son premier podium : malgré un abandon à trois minutes de la fin, il termine 3è derrière Jan Verschueren et Éric Appelmans, eux seuls ayant terminé la course. De 2011 à 2013 il reste un des participants assidus à ce championnat. Début 2014 il dispute les deux premières courses de la saison, puis, mi-mars, après quelques tours à Crystal Palace, met un terme à près de dix ans de carrière.
Carrière : 2004-2014 - 20 championnats
Meilleurs résultats : 2006 - 8è - LBGPL mod65
Courses disputées : plus de 190. Victoires : deux.
à fin 2013.
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BILODEAU Eric |
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De 2004 à 2008 Eric Bilodeau participe au championnat Québec GPL et prend part également de manière active à son fonctionnement. Mais il est surtout, depuis 2003, un des piliers du championnat F1 Legends : il y fait ses débuts en juin sur le circuit de Salzburgring puis obtient en octobre ses deux premiers podiums (D3) à Kyalami et Monza. L'année suivante est celle de sa première saison complète et est plutôt réussie : s'il n'enregistre aucun résultats marquants il figure pourtant assez bien, courses après courses, pour terminer dans le Top 10 au classement général. En 2005 il continue de rouler, essentiellement en D3, et obtient une première victoire à Zandvoort, en septembre. Il récidive le mois suivant à Silverstone, et, avec six podiums par ailleurs, dont la moitié en D2, termine cette fois-ci aux portes du Top 5 d'un championnat pourtant riche en grosses pointures. Cette année-là il roule aussi dans le championnat GPL Cups où il réussit également plutôt bien : des podiums à Kyalami, Salzburgring, Reims et Watkins Glen lui offrent un Top 5 au général, son meilleur résultat toutes saisons confondues.
En 2006 il retrouve la D3 chez F1 Legends où il obtient à nouveau quatre podiums et brille sur les pistes britanniques : il s'impose à Oulton Park en mars, Thornam le mois suivant puis Silverstone en juin. Au final, à lui encore une place dans le Top 10 au général. 2007 est un peu la copie conforme de l'année précédente avec des participations en D3, une demi-douzaine de podiums et un succès à Spa en octobre qui lui permettent d'être une fois encore dans les bonnes places en fin d'année. En 2008 il roule à nouveau en GPL Cups, devenu depuis un championnat où on roule en 100% et, cette année-là, avec les voitures de 65. Il y fait une bonne demi-douzaine de courses mais c'est surtout chez F1 Legends qu'il va continuer de briller.
2008 comme les deux année suivantes sont pour Eric Libourel sous le signe du 11 puisque 3 fois de suite il va terminer au classement général aux portes du Top 10 dans lequel il arrivait à se faufiler jusque-là. 2008 le voit donc rouler de la D2 à la D4 et cumuler les podiums comme les victoires : pas moins de 5 succès dont deux en D3 à Monsanto et Watkins Glen mais aussi autant d'autres places sur la boîte dont une à Spa en D2 en août. En 2009 c'est 3 podiums dont un en D2 en fin d'année à Watkins Glen et 5 succès dont 2 en D3 (Kyalami et Montjuich) qui lui permettent de terminer en bonne place. 2010 est plus riche encore : une demi-douzaine de succès en D3, plus un au niveau inférieur et presque autant de podiums dont 2 en D2. A ce niveau, à Zeltweg, en octobre, il n'est pas loin de son meilleur résultat, terminant à quelques secondes seulement du vainqueur, Eric Libourel.
En 2011 il s'impose en D3 à Urbanya en mars puis Opatija en mai et à Zandvoort en octobre. Près d'une demi-douzaine de podiums, dont Kyalami et Silverstone en D2, lui permettent de retrouver le Top 10 au général en fin d'année et de se tricoter ainsi un des palmarès les plus impressionnants qui soit chez F1 Legends. L'année suivante se passe aussi au mieux avec, outre une paire de podiums en D2, quelques succès en D3, et en octobre, à Zandvoort un premier succès en D2 : il devance Rolf Halbheer d'une grosse seconde à l'arrivée.
En 2013 Eric Bilodeau poursuit son parcours chez F1 Legends, un championnat qui se limite alors deux fois sur trois à deux niveaux. Au gré des courses il roule donc sur les trois divisions proposées, la seconde le plus souvent. A ce niveau il n'est battu à Kyalami, début février, que par C Lefuret pour la première course de la saison. La seconde, le mois suivant, lui permet de prendre sa revanche et de s'imposer sur la piste du Sachsenring. En avril il s'offre un nouveau podium à Watkins Glen puis l'emporte (en D3) début juin à Donnybrooke. Par la suite il obtient quelques accessits et surtout engrange les points en terminant 80% de ses courses sur l'année. Au général il finit aussi bien placé qu'en 2005, sa meilleure saison, et réussit l'exploit de terminer une dixième année consécutive dans les onze premiers.
En 2014 le Québécois rempile pour une 12è année chez F1 Legends où il va vivre une de ses meilleures saisons. De début février à fin juin il décroche 6 podiums dont on retiendra surtout Roadblock en mars, Valbray en mai et Brands Hatch fin juin où il roule en D2, le plateau étant alors réparti sur 3 niveaux. Il compte aussi un succès en D3, début juin à Monaco. Ses 6 courses d'après la trêve estivale sont du même tonneau puisque il ne rate le podium que deux fois dans l'année dont une où il avait accédé à la D1. On notera surtout le Nürburgring en octobre où il termine sur le 2è des 3 niveaux derrière Michel Fournié et Jury Nahimovich. Il termine l'année sans aucun abandon, sa dernière course lui valant de s'imposer à nouveau sur le 2è et dernier niveau devant Pierre-Yves Delobel. Comme l'année précédente ses résultats lui permettent de terminer aux portes du Top 5 au classement général.
En 2015 il roule essentiellement en D3 et s'y impose à Watkins Glen, Lime Rock et Rouen lors du premier semestre. Il l'emporte à nouveau début octobre à Zandvoort puis obtient un podium en D2, le plateau étant réduit à 2 niveaux en fin de saison. Malgré cela ses résultats ne lui permettent pas de finir dans les 11 premiers au classement général comme les douze années précédente et il termine 15è de la saison. En 2016 Eric Bilodeau s'impose très tôt dans la saison avec une victoire en D3 à Spa 67 puis roule en D2, le plateau étant réduit à 2 niveaux dès la 3è manche. Il obtient une bonne demi-douzaine de podiums tout au long de l'année et retrouve sa place dans le Top 10 au classement général.
Carrière : depuis 2003 - 16 championnats*
Meilleurs résultats : 2005 - 5è - GPL Cups 2005 - 6è - F1 Legends 2013 - 6è - F1 Legends 2014 - 6è - F1 Legends
Autres résultats marquants : 2004 - 7è - F1 Legends 2016 - 8è - F1 Legends
Courses disputées : plus de 240*. Victoires : près d'une quarantaine*.
* à fin 2016.
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BOISSEL Olivier |
Olivier Boissel fait ses débuts en ligne en 2004 dans le championnat de la ligue française. Il roule à Kyalami fin janvier en D3 puis fait une demi-douzaine de courses jusqu'à début juin, accrochant un podium en D4 en mai à Interlagos. A partir de mi-juin il se consacre aux mods qui commencent à sortir à cette époque. Il participe à la première course du championnat BCRL, en mod65, là aussi à Kyalami, terminant sur le podium, puis, pendant l'été, fait une demi-douzaine de courses dans le championnat GPL.net avec les mêmes voitures. En octobre il s'impose pour la 4è course du championnat BCRL à Snetterton et grâce à deux autres podiums par ailleurs, finit en bonne place au général. Son absence lors de la 2è manche lui coûte vraisemblablement le titre au profit de Guillaume Nachin.
L'année suivante il roule toute l'année avec les voitures de 65 : grâce à trois podiums il termine dans le Top 10 au général 2005 en ligue belge. Il fait aussi une paire de courses dans le championnat GPL.net, un podium à Zandvoort à la clé, mais c'est en BCRL qu'il fait à nouveau son meilleur parcours, terminant pour la 2è saison consécutive sur le podium. En 2006 il roule encore dans le championnat BCRL 65 mais aussi dans le tout nouveau dédié au récent mod69. Dans le 1er il glane pas moins de 5 podiums et termine l'année en beauté en remportant la dernière manche à Mexico en décembre. Avec les voitures de 69 c'est en juin qu'il s'impose à Oulton Park devant Laurent Coëffic. En mars il avait failli l'emporter, terminant à deux secondes d'Alain Maurice à Zandvoort. En novembre c'est à Watkins Glen que le même opposant le prive du succès pour deux petits dixièmes cette fois-ci. Deux autres podiums par ailleurs lui permettent quand même de bien figurer et c'est dans les deux classements qu'il s'invite dans le Top 10.
Ces bons résultats signent quasiment la fin de sa carrière : en 2007 il fait quatre courses dont un podium (65) et 1 manche (1 podium) avec les châssis 69. Mi-janvier 2008 il fait une dernière course en 65 et une en 66, le dernier mod sorti alors, et tire sa révérence sur ces deux dernières participations.
Carrière : 2004-2008 - 12 championnats
Meilleurs résultats : 2004 - 2è - BCRL mod65
Autres résultats marquants : 2005 - 8è - LBGPL mod65
Courses disputées : environ 80. Victoires : trois.
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BOISSELIER Philippe |
Philippe Boisselier fait ses débuts en ligne en participant au championnat BCRL 2003. Il y termine second en juin à Aintree derrière Guillaume Nachin puis finit encore sur le podium en octobre et décembre à Pau et Kyalami. Cela lui vaut de figurer dans le Top 10 au classement général. En fin d'année il participe aussi au championnat COA en disputant trois courses de septembre à novembre. En 2004 on le voit faire une course chez GPL.net pendant l'été puis trois en BCRL (1 podium) au second semestre mais c'est en ligue française, qu'il intègre en janvier, où il va faire l'essentiel de sa saison. Il y débute en D4 et d'entrée s'impose à Spa. Un podium en février à Zandvoort et il monte en D3 en mars. En septembre il l'emporte à Adélaïde et, en fin d'année, termine dans le Top 10 de D3 au classement général.
En 2005 Phil ne dispute que deux courses pendant l'été dans le championnat GPL.net puis revient en piste en avril 2006 en ligue française. Comme en 2004 il y débute en D4 et termine second à Monaco avant de gagner au Nürburgring en juin. En septembre il retrouve la D3 pour cinq des six dernières courses de la saison mais n'y obtient pas de résultats notables. En 2007 Philippe Boisselier démarre la nouvelle saison à nouveau en D3 mais après quelques courses met un terme à sa carrière à l'issue d'un dernière ronde en mai à Zandvoort.
Carrière : 2003-2007 - 8 championnats
Meilleurs résultats :
2003 - 8è - BCRL 2004 - 7è - LFGPL D3
Courses disputées : plus de quarante. Victoires : trois.
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BOT Tristan |
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Autoproclamé Magic Arsouille, Tristan Bot est un adepte du mod F10 (vue poursuite) qui fait souvent la course en tête grâce à une vélocité plutôt rare. Il appartient en effet, au Top 5 des pilotes les plus rapides du plateau francophone.
C'est en 2007 qu'il fait ses débuts dans le grand circus du online. Il démarre modestement, fin juin, en ligue française en D3 : il y obtient dès sa 2è course, en septembre, son 1er succès sur le circuit de Jops Siffert avant d'aller cueillir un podium en D2 en fin d'année. Fin août il débute chez F1 Legends en obtenant d'entrée une 2è place en D1 derrière Bertrand Catroux. La victoire à ce niveau viendra dès le mois d'octobre à Spa. Il intègre aussi la GPL Cups, époque 100 %, et l'emporte dès sa première course, début septembre, sur le circuit du Nürburgring. Abonné aux bons résultats un peu partout il s'impose sans conteste comme le rookie de l'année. En Cups, une autre victoire en fin de saison, à l'arrachée, lui permet de se faufiler dans le Top 5 au général.
En 2008 il enfonce le clou pour sa première saison complète et participe, en plus, aux championnats BCRL et ligue belge : le titre est au bout pour la dernière édition du championnat de Bob Cramer, en mod 67, alors qu'il attendra 2010 pour la couronne en ligue belge. 2008 est aussi pour lui l'occasion d'un premier Top 10 dans les ligues majeures F1 Legends et LFGPL. Il obtient d'ailleurs des résultats assez similaires dans ces deux championnats, s'y installant parmi les meilleurs les 3 années suivantes : podium en LFGPL alors qu'il patiente jusqu'en 2011 pour l'atteindre chez F1 Legends.
En 2009 et 2010 il participe aux championnats Planète GPL et HSO. Deux expériences qui s'arrêteront d'un coup même si pour la dernière il n'en peut mais, la compétition n'allant pas à son terme. Toujours est-il qu'il y obtient cependant des podiums ou peu s'en faut...
En 2011 il réédite son titre en ligue belge, avec deux championnats sur l'ensemble des mods, et s'invite, derrière le maître des lieux, sur le podium final du championnat Sports Cars de Tom Guérout. Dans l'ombre de ce dernier, l'homme aux points de suspensions poursuit sa carrière en 2012 en roulant à nouveau en ligue belge, ligue française et chez F1 Legends : Outre-Quiévrain il conserve son titre comme il le fera l'année suivante. Il reste aux avants-postes en LFGPL en terminant aux pieds du podium. Chez Jack Seller il termine comme l'année précédente derrière Tom Guérout et Philippe Renaud.
En 2013 il finit aux portes du Top 5 en ligue française et fait sa meilleure année chez F1 Legends, second derrière Guérout, intouchable. En 2014 il y obtient 3 victoires, terminant dans le Top 5 au classement général, et dispute aussi quelques courses en ligue belge. En 2015 il s'impose à quatre reprises dans le championnat de la ligue belge et termine second au classement général. Chez F1 Legends il accroche un podium lors de la dernière course de la saison et le Top 5 au classement final.
En 2016 Tristan Bot rentre dans le club fermé des pilotes à plus de 400 courses dans les championnats francophones. Si la victoire le fuit chez F1 Legends, comme l'année précédente, il y reste aux avants-postes, terminant aux pieds du podium au classement général. C'est en ligue belge qu'il s'impose, une fois sur deux, soit à près d'une dizaine d'occasions, et renoue avec le titre après sa série 2010-2013.
Carrière : depuis 2007 - 34 championnats*
Titres : 2008 - BCRL 2016 - LBGPL mod66
Autres résultats marquants : 2007 - 5è - GPL Cups . 100 % 2009 - 4è - F1 Legends 2010 - 2è - LFGPL 2011 - 3è - F1 Legends 2012 - 3è - F1 Legends 2013 - 2è - F1 Legends 2014 - 5è - F1 Legends 2015 - 2è - LBGPL mod66 2015 - 5è - F1 Legends 2016 - 4è - F1 Legends
Courses disputées : plus de 420*. Victoires : plus de 90*. Près d'une vingtaine en D1 dans les championnats multi-niveaux.
*(A fin 2016)
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BOUTON Philippe |
C'est en septembre 2004 que Philippe Bouton fait ses débuts en ligne en roulant à Bremgarten dans le championnat F1 Legends. Il évolue alors en D3 et n'est battu que par Frédéric Gubbels. Dès la course suivante, à la fin du mois, il cueille sa première victoire en s'imposant à Monza puis confirme en l'emportant à nouveau à Spa, début novembre. Fin novembre il accède à la D2 pour la dernière course de la saison à Laguna Seca. En septembre il avait aussi intégré le championnat de la ligue française, y roulant en D3. En octobre il décroche un premier podium dans cette ligue lors de la manche disputée à Mexico.
En 2005 Philippe Bouton accède à la D1 chez F1 où il dispute les quatre premières courses de la saison puis descend en D2 en avril. En juin c'est à ce niveau qu'il termine sur le podium à Spa avant de mettre un terme à sa saison dans ce championnat. C'est en ligue française qu'il va faire une saison complète, ne ratant que deux courses parmi la quinzaine mise au calendrier. Là, le plateau s'est étoffé et c'est donc en D6 qu'il débute l'année et s'impose à Zandvoort en janvier puis à Snetterton le mois suivant. Au vu de ces résultats il accède à la D5 en mars et termine d'entrée second à Mexico avant de gagner la manche de Spa en mai. En octobre il glane un nouveau podium à Road Atlanta et une nouvelle victoire à Monza. Ses points de D6 reversés en D5 il termine l'année aux pieds du podium au classement général à ce niveau.
En 2006 Phil Vaillant ne dispute que deux courses chez F1 Legends au printemps : le temps d'une belle 4è place en D1 à Oulton Park derrière un trio Zaiit-Defois-Audran puis d'un podium en D2 à Spa, seulement battu de peu par Jacques Serre. Le reste de l'année il demeure un pensionnaire assidu du championnat de la ligue française où il dispute près d'une douzaine de courses. Au sein d'un plateau réparti sur 5 niveaux il dispute ses chances en D2 et, s'il n'obtient pas de résultats particulièrement notables il engrange les points petit à petit : il parvient ainsi à accrocher une place dans le Top 10 au classement général de cette D2. En 2007 il ne revient en piste qu'en mai pour une course F1 Legends en D1 à Monza, après laquelle il met un terme à sa carrière.
Carrière : 2004-2007 - 7 championnats
Meilleurs résultats :
2005 - 4è - LFGPL D5
Courses disputées : une cinquantaine. Victoires : une demi-douzaine.
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BOVY Jean-François |
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Jean-François Bovy est, avec Alain Rochette, un des vétérans des championnats GPL francophones : il débute en effet en ligne en janvier 2002 en disputant une course à Imola dans le championnat GPL Passion. En février il intègre le championnat F1 Legends puis rejoint aussi la ligue française un peu plus tard dans l'année. Chez cette dernière il fera une quarantaine de course jusqu'en 2005, avec une poignée de podiums à la clé mais c'est chez F1 Legends qu'il réussira le mieux. Pendant l'été 2002 il dispute aussi quelques courses dans le championnat Vibrate. D'octobre 2002 à mai 2003 il participe également à la compétition organisée par la ligue française avec des F2 (en fait les voitures de 67 "dégonflées").
En 2003 il roule essentiellement en D2, chez F1 Legends, avant d'atteindre la D1 lors des deux dernières manches de l'année. En fin d'année on le voit aussi à nouveau dans le championnat F2 LFGPL mais il ne dispute finalement que trois courses en octobre et novembre. L'année suivante il participe au Championnat Grandprixlegends.net mais 2004 est aussi pour Jieffe Meuh l'année de la publication de son premier circuit, la piste réelle de Chimay ressuscitée. C'est également son arrivée en ligue belge. Chez F1 Legends il réalise une belle saison, faisant un tiers des courses en D1 et terminant pas loin du Top 10 au classement général. Il y obtient aussi ses premiers succès en ligne en 2005, s'imposant en D3 à Monza en février puis à Mosport en mai.
En 2006 il s'impose aussi en ligue belge à Watkins Glen en mod67 mais c'est avec le mod69 qu'il obtient sa première belle place au classement général. Il publie aussi deux nouveaux circuits, Moircy, imaginaire, puis redonne vie à la piste de Jéhonville avec l'aide d' Alexis Bigonville. L'année d'après il obtient son meilleur résultat chez F1 Legends, s'invitant dans le Top 10 final en agrafant deux nouveaux succès à son palmarès : en D4 à Zandvoort en mars puis en D3 à Watkins Glen en novembre. 2007 le voit aussi réussir en ligue belge puisqu'il termine sur le podium derrière Jan Verschueren et Frédéric Gubbels dans une édition où tous les mods étaient utilisés.
En 2008 il participe aux débuts du championnat Planète GPL, le temps d'une paire de courses mais il rejoint aussi la GPL Cups 100% en mod65 et y figure brillamment : 3 podiums au cours de la saison lui assurent une belle place au classement général, devancé par Frédéric Gubbels, Ludovic Tiengou et Hervé Sabathé. En ligue belge il s'adjuge deux nouveaux succès à Funabashi et Bremgarten et s'impose aussi chez F1 Legends, en D3, à Rouen et Spa, terminant pas loin du Top 10 au classement général. L'année suivante il figure à nouveau bien en ligue belge avec une victoire à Diamante et une place dans le Top 5 du classement final. Il roule aussi en Cups qui s'arrête au bout de 2 courses et chez HSO comme l'année d'après le temps d'une poignée de courses et d'une victoire à Spa. Chez F1 Legends il l'emporte également, toujours en D3, à Valbray, au Nürburgring et à Monaco.
En 2010 il fait à nouveau quelques courses dans le championnat Planète, avec le mod66, le temps d'un podium à Brands Hatch, mais aussi une demi-douzaine de courses chez F1 Legends. Depuis 2011, excepté une course dans le championnat de Tom Guérout, il se consacre au championnat de son coeur, celui de la ligue belge où il épaule Frédéric Gubbels. En 2012 il renoue avec le succès en l'emportant en février à Watkins Glen dans une compétition désormais dédiée au mod66. En 2013 il termine comme l'année précédente dans le Top 5 du championnat.
En 2014 la ligue belge continue sous sa houlette, réunissant six à dix pilotes selon les courses. Jean-François Bovy dispute les seize manches de la saison et passe ainsi, après son compère Frédéric Gubbels, l'impressionnante barre des 400 courses disputées. Il va chercher des podiums sur certaines épreuves disputées en deux manches mais on retiendra surtout la course longue de Salzburgring 76, en juin, où il n'est battu que de 5 secondes par Eric Appelmans. En novembre il termine à nouveau sur le podium à l'issue de la course de Roy Hesketh, derrière Titi Douet et Alain Maurice. Au final il ne termine pas 5è comme l'année précédente mais n'en est pas loin, battu seulement de quelques points par David Rainier.
En 2015 il débute bien l'année lors de la première course de la saison, en février à Urbanya : il domine ses adversaires en terminant second des deux manches. En septembre il s'offre un podium à Monza et, au final, termine aux portes du Top 5 au classement général, comme l'année précédente. En 2016 il s'offre un podium, au total des deux manches, en mai, sur sa piste, Jéhonville, et en fait de même en août, à Spa 67, seulement battu par le tandem Bot-Appelmans. Il devient aussi le premier pilote à dépasser les 450 courses dans les ligues francophones et, en 2017, continue de présider à la destinée de la ligue belge qui fête sa 15è année.
Carrière : depuis 2002 - 42 championnats*
Meilleur résultat : 2007 - 3è - LBGPL
Autres résultats marquants : 2006 - 5è - LBGPL mod69
Courses disputées : près de 460*. Victoires : près d'une vingtaine*.
*à fin 2016
Son interview. Son interview "Sortie de baquet".
Ses circuits, Chimay, Moircy, Jehonville. des pages consacrées à Chimay page dédiée à Jehonville
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BRULE Jean-Yves |
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C'est début 2007 que Jean-Yves Brûlé fait ses débuts dans le championnat de la ligue française à l'occasion de la première course de la saison. Il y roule alors en D5 à Spa. Il dispute ensuite une dizaine de courses au long de l'année et obtient un premier podium en mai à Brands Hatch. Le mois suivant il confirme avec un résultat du même genre au Nürburgring. Il récidive en novembre à Silverstone et termine dans le Top 5 du championnat de D5. Il dispute aussi quelques courses du championnat organisé par cette ligue avec le mod69. En 2008 il va disputer une bonne douzaine de courses et accède à la D4 où il obtient sa première victoire en février à Monaco. Une 2è place en avril à Rouen et il monte en D3 à la fin du mois. D'entrée il termine aux pieds du podium à ce niveau à Leipzig. C'est en septembre, à Bremgarten, qu'il l'obtient, signant son meilleur résultat de la saison.
En 2009 Jean-Yves Brûlé obtient à nouveau un podium en D3, en mars à Watkins Glen, puis il accède à la D2 un peu plus tard dans l'année. Comme lors de la saison précédente ses progrès se font en deux temps, avec une 4è place à Silverstone en septembre, puis une 3è le mois suivant à Monthléry. En 2010 il fait une première saison complète en D2 et obtient un podium en avril à Cognac et un autre en juin au Nürburgring.
En 2011 c'est toujours en D2 qu'il roule, obtenant à nouveau un podium, en mars, sur un circuit de Rouen encerclé par la neige. C'est sa dernière saison complète, et une bonne douzaine de courses lui permettent de figurer pour la première fois dans le Top 10 au classement général final. En 2012 Jean-Yves Brûlé participe encore à une dizaine de courses à peine puis à une demi-douzaine en 2013 et quitte les pistes après une dernière ronde, en mai, à Montjuich.
Carrière : 2007-2012 - 8 championnats
Meilleur résultat : 2011 - 9è - LFGPL
Autre résultat : 2007 - 5è - D5 - LFGPL
Courses disputées : plus de 80. Victoires : une.
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A suivre...