DICO DES PILOTES - L COMME... LEBLOND
LEVASSEUR Franck |
Franck Levasseur fait ses débuts en ligne en intégrant la ligue française au début de la saison 2003. Il s'impose dès sa première course, mi-janvier, en D5, sur le circuit de Kyalami. Pour sa 3è course mi-mars il monte en D4 et décroche un podium à Rouen en juin. En août il termine second à Snetterton avant de s'imposer en septembre à Bremgarten. Un nouveau podium le mois suivant à Monza et il accède à la D3 en novembre. Comme en D5 il s'y impose d'entrée, sur la piste de Leipzig. En parallèle à cette saison LFGPL Franck Levasseur à aussi fait ses débuts chez F1 Legends en avril. Après une course en D4 sur le circuit Le Mans Bugatti, sa 2è course, en mai, lui permet d'obtenir un podium à Bremgarten en D3. Par la suite il termine la saison en D2.
En 2004 il dispute une manche en BCRL et une poignée de courses chez F1 Legends. Pendant l'été, il participe au championnat GPL.net mais c'est en ligue française qu'il étoffe son palmarès. Après un podium en février il obtient deux victoires en mars et juin à Lime Rock et au Nürburgring. Deux podiums de plus en septembre et il accède à la D2 en novembre pour les trois dernières courses de la saison. En 2005 Franck Levasseur fait à nouveau quelques courses chez GPL.net et participe de manière plus soutenue au championnat F1 Legends : une douzaine de courses lui permettent de glaner un podium en D2 en avril à Kyalami. Le mois d'après il roule en D1 et termine aux pieds du podium à Limerock. Ensuite il obtient sa première victoire dans ce championnat en septembre, en D2, à Zandvoort. Un nouveau succès au niveau inférieur clôture sa saison en novembre à Rouen. En ligue française il poursuit son parcours en D2 et s'impose pour la première fois à ce niveau en mars à Mexico. En mai il est à nouveau sur le podium à Spa puis pas loin de s'imposer en septembre à Mosport. Cette bonne saison lui permet de finir 5è du classement de D2.
En 2006 Franck Levasseur fait l'essentiel du championnat GPL Cups (un podium) mais c'est dans les autres compétitions qu'il réussit son année. En ligue française il attends septembre pour obtenir une victoire à Zandvoort puis la complète avec des podiums à Kyalami et Solitude en octobre et novembre. Comme l'année précédente il termine 5è de D2, ratant cette fois de pas grand chose une place sur le podium à ce niveau. Chez F1 Legends il s'impose en mai à Albi (D2) devant David Poupet et Hervé Sabathé puis arrache un premier podium au sommet en août, à Rouen, derrière Olivier Zaiit et Rindo Molfis. En octobre il complète le tableau en l'emportant à nouveau deux fois en D2 : à Wiesbaden devant Alain Rochette et Hervé Sabathé puis à Mexico devant, à nouveau, le tandem Poupet-Sabathé. Tout cela lui permet de s'inviter pour la première fois dans le Top 10 d'une compétition disputée alors par plus de soixante-dix pilotes.
En 2007 Franck Levasseur fait sa dernière saison complète, ou quasiment : un bref passage, une paire de courses, en ligue belge et autant en GPL Cups. Il connaît un début de saison en fanfare chez F1 Legends : victoires en D2 à Kyalami, Mosport, Imola, Silverstone et Jops Siffert de janvier à septembre mais avec deux courses disputées seulement sur les huit dernières il ne peut figurer très haut au classement général. En ligue française c'est les deux tiers des courses auxquelles il participe, près d'une dizaine : il s'impose à Spa en janvier puis collectionne les podiums de février à mai : Kyalami, Rouen et Zandvoort. Début juin une dernière victoire à Lime Rock et trois semaines après il grimpe d'un niveau pour une première course au sommet au Nürburgring mais sa saison s'arrête là. Il revient en janvier 2008 pour un podium en D3 à Mexico puis une deuxième course en D1, à Zeltweg, le mois suivant. Début avril sa 3è course est la dernière à Rouen, en D2, et il se retire des pistes après cette ultime ronde.
Carrière : 2003-2008 - 19 championnats
Meilleur résultat : 2006 - 10è - F1 Legends
Courses disputées : 160.
Victoires : une vingtaine.
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LEVASSOR Emile |
Emile Levassor débute chez F1 Legends en octobre 2001 à Rouen, pour la 5è course de ce championnat, après des débuts ratés (connexion) le mois précédent. Il finit pas loin du podium en décembre à Mosport mais c'est l'année suivante qu'il va vraiment laisser une trace.
En 2002 les pilotes F1 Legends sont répartis sur deux niveaux et c'est donc en D2 qu'il va obtenir ses résultats : il s'impose à Kyalami avant de se contenter d'une deuxième place lors de la course suivante, à Mexico. Mais ensuite il enchaîne les victoires à Monaco, Imola, Zandvoort et Bremgarten. Le plus dur est fait. Il s'impose encore deux fois lors des dix dernières courses (Magny-Cours et Spa) ce qui lui permet d'accrocher une place enviable au classement général final.
Il part sur cette année exceptionnelle mais revient deux ans plus tard lors de la saison embryonnaire du championnat GPL Cups (juillet-août 2004) : il y fait 3 des 6 courses et s'impose à Rouen et au Mans.
Carrière : 2001-2004 - 3 championnats
Meilleur résultat : 2002 - 5è - F1 Legends
Courses disputées : deux douzaines. Victoires : près d'une dizaine.
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LEVAUX Didier |
C'est fin août 2004 que Didier Levaux fait ses débuts en ligue belge sur le circuit de Crystal Palace. Il y dispute 6 des 8 dernières courses de la saison. Début octobre il intègre aussi la BCRL qui propose 7 courses de juin à décembre. Quatre manches lui suffisent pour s'y faire une place puisqu'il brille lors des deux dernières : il termine second derrière Guillaume Nachin, mi-novembre, à Brands Hatch, puis début décembre au Nürburgring. Ces résultats lui permettent d'accrocher le top 10 au classement général.
En 2005 Tuck 65 roule à nouveau en BCRL mais c'est surtout en ligue belge qu'il va s'illustrer. S'il ne dispute que deux courses, pendant l'été, avec les voitures de 67, le mod65 va lui permettre de devenir un outsider incontournable. En janvier il termine 3è à Kyalami derrière Guillaume Nachin et Hervé Sabathé puis en fait de même en mai, à Spa, derrière Frédéric Gubbels et Olivier Boissel. Il confirme en mai avec deux places similaires à Rouen puis sur le circuit Le Mans Bugatti. Fin juin il saisit sa chance et s'impose pour la première fois en devançant Luc Van Gossum et Jan Verschueren sur la piste de Clermont-Ferrand. Par la suite il ne dispute qu'une des neuf dernières courses mais ne perd qu'une place au classement général et termine 7è en fin d'année.
En 2006 Didier Levaux dispute encore deux des trois premières courses de la saison en ligue belge dans les championnats 65 et 69, y terminant dans les deux sur une place aux pieds du podium puis met un terme à sa participation. Il dispute aussi une course en mars en BCRL puis une autre début avril à Spa à l'issue de laquelle il se retire des pistes.
Carrière : 2004-2006 - 8 championnats
Meilleurs résultats :
2004 - 10è - BCRL mod65
Courses disputées : une quarantaine (fourchette 32 à 47*). Victoires : une.
*archives BCRL partielles. |
L'HARIDON Gilles |
C'est en 2003 que la Bob Cramer Racing League se lance dans le online après avoir jusque-là proposé des concours de hotlap. Son créateur, Bob Cramer, tout droit échappé de Michel Vaillant, y roule dès la 2è course, mi-janvier à Donington. On est alors dans un championnat embryonnaire, 11 pilotes seulement participant à cette première saison. Bob y fait 8 des 9 courses et obtient un podium fin mars à Watkins Glen derrière Guillaume Nachin et Mario Bédart. Il termine pas loin du Top 5 au général. En 2004 il fait 4 des 7 courses et obtient un podium en octobre à Snetterton derrière Olivier Boissel. Le championnat s'étoffe cette année là avec plus d'une vingtaine de participants, Bob terminant dans le Top 10.
La ligue prend de l'ampleur en 2005 puisqu'elle propose d'un coup 44 courses sur deux championnats dont une vingtaine avec le nouveau mod, le 65. Bob participe aux deux compétitions et termine dans le Top 10 en 65 mais aussi pas loin du Top 5 avec les voitures de 67. L'année suivante il roule beaucoup, avec 45 à 55 participations. Aux deux compétitions précédentes s'ajoute un nouveau championnat dédié au mod69. En 65 il obtient un podium à Keimola puis termine second à Brands Hatch derrière Alain Maurice et à Bathurst derrière Pascal Fourcade. En 66 c'est à East London en janvier et Brands Hatch en mai qu'il obtient des podiums : au final il termine aux pieds du podium occupé par Olivier Guillo, Laurent Coëffic et Jojo F1. C'est avec les voitures de 69 qu'il obtient son unique succès en s'imposant en octobre devant Olivier Guillo et Jan Verschueren sur le circuit de Bathurst. Il termine l'année sur un podium à Reims. 2006 voit Gilles L'haridon participer aussi au championnat de la ligue française, toujours avec le mod69 : il débute sur un podium en D2 en janvier à Watkins Glen puis fait trois autres courses au même niveau sur février et mars avant de se recentrer sur la ligue qu'il préside.
En 2007 il roule moins mais participe aux 3 championnats BCRL, y faisant en tout 15 à 20 courses. Il obtient un dernier résultat notable en mai avec un podium à Rouen derrière Alain Maurice et Laurent Coëffic. L'année suivante il fait une quinzaine de courses sur les 55 organisées : il tire sa révérence début novembre sur une dernière épreuve disputée à Westwood avec une voiture du nouveau mod, le 66. Sa ligue disparaît en 2009 après une dernière édition des championnats 65 et 66.
Carrière : 2003-2008 - 13 championnats
Meilleurs résultats : 2006 - 5è - BCRL mod65
2004 - 9è - BCRL mod65
Courses disputées : 100 à 150*. Victoires : une*.
*estimation : données incomplètes pour 2005 et 2006.
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LIBAT Thierry |
Thierry Libat est un des pionniers de GPL puisqu'il participe au premier championnat de la ligue française, moins de six mois après la parution du jeu. D'entrée il s'impose comme l'homme fort du plateau puisqu'il l'emporte lors des sept premières courses : de février à août 1999 c'est Kyalami, Monaco, Zandvoort, Spa, Rouen, Silverstone et le Nürburgring qui tombent dans son escarcelle. Tout cela en D1. Dès lors les jeux sont fait. Par la suite il souffle un tantinet, laissant un peu de place à ses adversaires : deux courses en D1 sans résultat notable, terminant aux pieds du podium en octobre à Monza. Il fait même les deux dernières courses de l'année en D2, s'imposant logiquement en novembre et décembre à Watkins Glen et Mexico. Cette saison étincelante lui donne donc logiquement et largement le premier titre francophone d'un championnat GPL : il affiche plus du double de points de son second mais aussi plus de points que ses deux suivants au classement général.
Après une telle domination il fait un break en 2000 et revient mi-décembre pour la première manche du championnat 2001, à Kyalami, mais son come-back est compliqué : une demi-douzaine de courses de plus, la première moitié en D1 et la seconde en D2, et il met un terme à sa carrière après une dernière ronde, mi-avril, au Nürburgring.
Carrière : 1999-2001 - 2 championnats
Titre : 1999 - LFGPL
Courses disputées : près d'une vingtaine. Victoires : près d'une dizaine. |
LIBOUREL Éric |
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Éric Libourel entame sa carrière en ligne en janvier 2005 dans le championnat de la ligue française. Il fait ses débuts en D4 et termine sur le podium dès sa première course, à Zandvoort. Il confirme en février à Snetterton puis accède à la D3 le mois suivant. Il y termine aux pieds du podium à plusieurs reprises dans les mois qui suivent. En 2006 il participe au championnat GPL Cups le temps d'une course en janvier. La ligue française organise un championnat en mod65. Éric Libourel y participe et y obtient deux podiums en mai avant de terminer sur le podium au classement général. Il roule aussi dans le championnat en mod69, alors assez important pour être disputé sur 3 niveaux. Deux podiums en D3 précédent pour lui une montée en D2 et trois résultats similaires à ce niveau. En septembre il décroche sa première victoire en ligne à Zandvoort qu'il confirme au dernier trimestre par de nouveaux succès à Kyalami et Spa. Il termine champion de D2 dans cette compétition. Dans le championnat principal (67) il évolue en D3, comme l'année précédente, et, après deux podiums, termine la course en tête, en novembre, à Solitude, devant Jan Verschueren.
En 2007 Éric Libourel fait à nouveau un passage en Cups, à Spa, mais se concentre sur les championnats de la ligue française. En 69 il accède à la D1 où il obtient des podiums à Monaco et Zandvoort. En 67 il fait une saison assez similaire à la précédente : quatre podiums que précédent un succès, là encore en novembre, sur le circuit de Road Atlanta. L'année suivante le championnat 69 se décline en deux manches pour chaque courses, ce qui multiplie les résultats : il en remporte une en janvier, toujours en D1, à Riverside, puis, après huit podiums, termine l'année de la même manière avec un succès lors de la dernière, à Adélaïde, fin octobre. Dans le championnat 67 il monte en D2 où il s'impose une première fois à Leipzig en avril avant de glaner deux podiums après la trêve estivale. En octobre 2008 il participe aussi aux débuts du championnat Planète GPL, à Carthage, avant de décrocher un premier podium en décembre à Schottenring. En juin 2009 il terminera dans le Top 10 au général de cette première édition.
L'année 2009 voit Léo Libgo faire un bref passage en ligue belge, le temps d'une course à Imola, en mod65. Mais cette année-là est surtout celle où il rejoint le championnat F1 Legends qu'il ne quittera plus par la suite. Alors sur 5 niveaux, ce championnat l'accueille en D3, en février, à Valbray, pour la 2è manche de la saison. Dès la course suivante, à Mosport, il s'impose devant des pilotes confirmés comme Hervé Sabathé et Jean-François Bovy. En mai il grimpe en D2 et s'y impose d'emblée, à Northpoint, devant Hervé Nicolas. Dès le mois suivant on le voit pointer le nez en D1 mais il se contente par la suite d'une victoire en D3 et d'un podium en D2. En ligue française (67) il accède pour la première fois à la D1 où il va rouler deux fois sur trois. Après un podium en D2 en mars il obtient le premier parmi l'élite le mois suivant, sur le circuit de Charade, derrière Frédéric Gubbels et Olivier Roméo. Un autre podium en D2 en fin d'année et pas mal de bons résultats lui valent au final une place enviable au classement général.
2010 va être une autre grande année, peut-être sa meilleure. Dans le championnat Planète GPL 2009/2010 il monte en puissance et termine second sur trois des quatre premières courses de la saison, lors du dernier trimestre 2009. Il confirme en janvier et en mai avec deux places similaires et, au final, termine premier du classement finisseur/fair-play devant Rolf Halbheer mais surtout second au général, en juin, derrière Kram Ortisseur. En ligue française il fait à nouveau deux courses sur trois en D1 : il s'impose en D2 à Kyalami, Mexico et Cognac, de février à avril, avant de rejoindre le niveau supérieur pour le reste de la saison. Il s'offre un podium à Valbray en septembre avant de redescendre en D2 mi-décembre pour la dernière course de la saison où il s'impose à Monza. Absent à quelques courses il rate de peu le Top 10 au général. Chez F1 Legends il devient un pensionnaire brillant en D2 : outre quatre podiums dans l'année on le voit s'imposer à Monza et Urbanya en avril et mai puis en faire de même en octobre et novembre à Zeltweg et Zandvoort. Ces résultats lui valent un premier Top 10 au général dans ce championnat. En cette année 2010, Planète GPL organise aussi un championnat avec le mod66. Pourtant absent de deux des trois premières manches Léo Libgo va ensuite rentrer dans la danse pour un championnat échevelé : il s'impose à Brands Hatch et Zandvoort en mai et juin avant de finir second au Nürburgring en septembre. Après deux courses ratées il s'aligne en outsider pour la dernière manche, en décembre, à Mexico. Alors 3è au général il réussit l'improbable : s'imposer alors que ses adversaires terminent seulement 5è (Behra) ou ne peuvent finalement disputer l'épreuve (Douet) et défendre leurs chances. A lui le titre, d'un souffle.
Avec sa "manette magique" Léo LibGo va encore faire une belle année en 2011 même si ses résultats sont un peu en baisse dans le championnat Planète 67 2010/2011. Il n'y obtient de résultats probants que lors de la deuxième moitié de la saison : trois podiums de janvier à juin et, logiquement, sa place au classement général s'en ressent par rapport à la saison précédente. En ligue française le plateau ne propose désormais la plupart du temps plus qu'un seul niveau. Il y obtient trois podiums et termine, comme en 2009, dans le Top 10 au général. Chez F1 Legends on roule encore sur trois niveaux, parfois même quatre, et lui évolue comme précédemment, sur le 2, à de rares exceptions. En février il s'impose à Varosliget puis Watkins Glen (là en D3) avant de l'emporter encore à Urbanya et Kyalami avant l'été. De nouveaux succès au dernier trimestre, Bathurst, Zandvoort et Rouen, agrémentés de trois podiums disséminés dans l'année lui permettent finalement d'obtenir, comme l'année précédente, un Top 10 dans le championnat le plus fréquenté.
Chez Planète, édition 2011/2012, à l'inverse de l'année précédente c'est lors de la première moitié de la saison, septembre/décembre 2011, qu'il obtient ses meilleurs résultats : des podiums à Dundrod, Salzburgring et Dessauer qui lui permettent de terminer à nouveau bien classé en juin 2012. En ligue française, désormais strictement réduite à un niveau, il termine sur le podium à Kyalami et St Jovite en début d'année puis l'emporte pour la première fois au sommet en mars à Monaco. Des places d'honneur et un podium par la suite lui permettent de finir à nouveau dans le Top 5 de ce championnat 2012, comme en 2009. Chez F1 Legends la fin du premier trimestre est marquée par la course de sa carrière : il roule en D1 le 18 mars à Edmonton. Ne signant pourtant qu'une 7è place aux essais, sa course se déroule comme dans un rêve et il s'impose pour la première fois au sommet, malgré une forte opposition. Il compte par la suite une paire de podiums en D2 et termine l'année en beauté en s'imposant à ce niveau à Spa mi-décembre. Il lui manque quelques courses pour être à nouveau dans le Top 10 au général.
En 2013 il roule à nouveau dans les trois championnats. L'édition 2012/2013 Planète GPL le voit encore sur des podiums à quatre reprises et finir en bonne place au général en juin 2013. En ligue française il obtient un podium à Goodwood en avril puis met un terme à sa saison en septembre dans un championnat qui vit sa dernière saison. Chez F1 Legends il fait sa meilleure saison : victorieux au premier semestre à Road Ontario et Donnybrooke (D2) il s'invite sur le podium en D1 en octobre à Oulton Park. Pour la première fois il termine dans le Top 5 au général. La saison 2013/2014 du championnat Planète le voit terminer sur le podium lors de la première manche disputée en septembre à Stardust, derrière Titi Douet et Patrick Cornu. Il participe aux cinq courses suivantes jusqu'en février 2014, sans résultats notables, et revient pour une derrière course dans ce championnat, en avril à Ardmore. En parallèle il roule encore chez F1 Legends où il obtient de bons résultats, essentiellement en D2 : une victoire mi-mars à Roadblock puuis une autre deux mois plus tard à Valbray. Début juin il termine aux pieds du podium en D1 à Monaco avant de s'imposer à nouveau au niveau inférieur, deux semaines plus tard, à Brands Hatch. C'est sur ce succès qu'il met un terme à sa saison. En 2015 il roule essentiellement en D2, s'imposant en mars sous la pluie de Mosport puis à Brno (49) en avril. En juin il termine sur le podium à Laguna Seca derrière Warm Up et Rolf Halbheer puis quitte les pistes après dix ans de carrière.
Carrière : 2005-2015 - 30 championnats
Titre : 2010 - Planète GPL mod66
2006 - 3è - LFGPL mod65 2010 - 2è - PGPL 2011 - 7è - PGPL 2012 - 4è - PGPL 2013 - 5è - F1 Legends 2014 - 8è - PGPL
Courses disputées : plus de 320. Victoires : près d'une quarantaine.
Son interview. Ses interviews "Sortie de baquet".
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LOGMAN Testicool |
Testicool Logman intègre le championnat F1 Legends en mai 2003 et obtient alors une 4è place en D4 à Silverstone. Le mois suivant il récidive au Nürburgring mais en D1 cette fois, terminant la course derrière Pierre Fabre, Jojo F1 et Jack Seller. Toujours en juin, retour en D3 à partir de la course de Sachsenring et pour le reste de l'année : il obtient son premier succès en septembre à Mosport puis décroche ensuite un podium à Monza en octobre. Rebelote par la suite avec, en novembre, une nouvelle victoire à Snetterton puis une montée en D2 récompensée d'un podium à Mexico.
En 2004 Testicool Logman roule essentiellement en D2 et D3 en début d'année avant de rejoindre la D1 à partir d'avril pour la course de Zeltweg. En février il s'impose en D3 à St Jovite puis termine sur le podium en D2 à Mosport derrière Christian Michel et Pascal Fourcade. Mars le voit terminer second en D2 à Mexico puis juin le voit s'illustrer après sa montée en D1 : au Nürburgring seul Jack Seller le prive d'une victoire au sommet alors qu'il termine derrière Jops Siffert, Bruno Guinet et Christian Michel à Silverstone. Il termine sa carrière fin novembre sur une dernière course à Laguna Seca et un énorme résultat : second au général entre Jops Siffert, titré, et Rindo Molfis.
Carrière : 2003-2004 - 2 championnats
Meilleur résultat : 2004 - 2è - F1 Legends
Courses disputées : près d'une trentaine. Victoires : trois.
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LOPEZ Gaizka |
Gaizka Lopez est un pilote espagnol qui compte parmi les plus rapides de GPL. Il n'a donc aucun mal à briller quand il rejoint le championnat HSO, malgré un plateau relevé. Dans cette compétition qui se déroule sur les durée réelles des courses de 67 il obtient un podium dès la première course : 3è derrière Antoine De Mautor et Bertrand Catroux en janvier 2009 à Kyalami. En mars, à Monaco, il termine second derrière Bertrand Catroux avant d'obtenir une place similaire à Zandvoort le mois suivant.
En mai, sur le circuit Le Mans Bugatti, il termine pas loin du vainqueur, Frédéric Gubbels, avant de s'imposer enfin en juin au Nürburgring. Un nouveau podium à Mosport, en août, derrière David Vanmullem et Bertrand Catroux, conforte sa place au classement général : il termine son bref passage dans les championnats francophones en étant vice-champion HSO 2009 derrière Bertrand Catroux.
Carrière : 2009 - 1 championnat
Meilleur résultat : 2009 - 2è - HSO
Courses disputées : une bonne dizaine. Victoires : une.
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LUCBERNET Yanick |
Yanick Lucbernet fût pendant longtemps un des piliers du championnat de la ligue française. Il y fait ses débuts en avril 2000 à Silverstone en D3. S'il ne fait que cinq courses il s'impose dès la 2ème en mai au Nürburgring. Après deux courses en D2 en juin et début septembre, sa dernière participation fin septembre le voit terminer second à Mexico, à nouveau en D3. En 2001 il fait à nouveau une course en D2 et une dizaine d'autres en D3 qui lui valent un podium à Rouen (février) et au Ring (avril) qui lui réussit à nouveau. En 2002 et 2003 il fait ses premières saisons complètes, une quinzaine de courses, et compte deux podiums (D4 et D3) lors de la première puis trois (D4) lors de la seconde où il renoue aussi avec la victoire, à Rouen en juin puis Leipzig en octobre.
Les deux années suivantes sont bonnes également puisqu'il l'emporte à plusieurs reprises : coup sur coup en 2004, en D4, en avril, à Rouen et Monza puis au niveau supérieur en mai à Interlagos avant de récidiver en octobre à Virginia. En février et novembre 2005, toujours en D3, à Snetterton et Monza. 2006 le voit accéder pour la saison entière à la D2. Il ne compte qu'un podium à Kyalami en octobre mais termine cependant 4è du championnat de D2 avec autant de points que le 3è, Erwan Quéfféleant, dans une compétition qui comptait alors encore 5 niveaux. 2007 est globalement moins réussie mais il s'offre paradoxalement ses premiers succès en D2 : une victoire à Bathurst en février devant Michel Delplace puis un autre succès lors de la dernière course de l'année à Monza, d'un rien devant Olivier Guillo.
En 2008, c'est fromage et dessert : les succès et le résultat d'ensemble. Il accède pour la première fois à la D1 (en janvier) mais fait aussi un tiers des courses en D2 : podium à Zeltweg en février puis succès à Rouen en avril. Victoire à Sandown puis podium à Mosport en juin. En novembre il obtient son premier podium en D1 sur le circuit de Watkins Glen, derrière Martin Audran et Bertrand Catroux. Décembre le voit bien terminer l'année avec un résultat similaire derrière Bertrand Catroux et Frédéric Gubbels lors de la dernière course disputée à Monza. Il termine ainsi dans le Top 5 du classement général.
L'année suivante il s'installe pour de bon en D1, ne faisant qu'une course au niveau inférieur : Patrice Bertin en janvier, à Dijon, et Frédéric Gubbels au Mans en juin l'empêchent de s'imposer au sommet mais il accroche encore une bonne place au classement général final pour sa dernière saison complète. En 2010 il ne fait que trois courses (D1 et 2) et quitte les pistes à quelques semaines de ses dix ans de compétition après une dernière course en mars (D1) à Mexico.
Carrière : 2000-2010 - 11 championnats
Meilleur résultat : 2008 - 5è - LFGPL
2009 - 8è - LFGPL
Courses disputées : près de 140. Victoires : une bonne douzaine.
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A suivre... |